Recettes | Fondation contre le Cancer
Excellent site de la Fondation Belge contre le Cancer
Mythes et réalités à propos de l’alimentation pendant un cancer | Fondation contre le Cancer
Les personnes atteintes d’un cancer se posent de nombreuses questions à propos de leur alimentation pendant un cancer. Et ils sont souvent confrontés à des réponses contradictoires de la part de leur entourage, des médias et d’Internet. Nous démêlons ici le vrai du faux en matière d’alimentation sur base des conclusions d’études scientifiques les plus récentes.
Excellent article de la Fondation Belge contre le Cancer
incluant les questions suivantes :
IL EST PRÉFÉRABLE D’ÉVITER L’ALCOOL PENDANT UN TRAITEMENT
LA MEILLEURE ALIMENTATION DANS LE CADRE D’UN CANCER EST-ELLE UNE ALIMENTATION SAINE ET ÉQUILIBRÉE ?
Je suis en surpoids et j’ai un cancer. Dois-je maigrir ?
L’impact du pamplemousse sur la chimiothérapie
La consommation de soja est permise lors d’un cancer du sein
La consommation de sucre favorise la croissance des tumeurs
Les super-aliments et l’alimentation bio contribuent à l’efficacité d’un traitement contre le cancer
Compléments alimentaires et cancer: info/intox?
Jeûner accroît l’efficacité de la chimiothérapie
La consommation de poisson permet d’éviter la perte de poids
Source : Mythes et réalités à propos de l’alimentation pendant un cancer | Fondation contre le Cancer
Guide des compléments alimentaires | Fondation contre le Cancer
Vous suivez un traitement contre le cancer et vous cherchez des informations concrètes sur les compléments alimentaires (vitamines, plantes, herbes…) ?
Ce guide vous fournira des informations sur les 20 compléments les plus fréquemment utilisés ainsi que sur les précautions, avantages et inconvénients liés à leur usage.
Avant d’avoir recours à des compléments alimentaires, lire attentivement les informations essentielles liées à leur utilisation.
Source : Guide des compléments alimentaires | Fondation contre le Cancer
Faire des recherches sur base d’un complément :Faites votre choix dans le menu déroulant « Sélectionnez un complément ».
La fiche d’information complète relative à votre choix s’affiche sous le menu déroulant.Faire des recherches sur base d’un traitement :Faites votre choix dans le menu déroulant « Sélectionnez un traitement ».Sous le menu déroulant, vous obtenez la liste de tous les compléments susceptibles d’interférer, de façon positive ou négative, avec le traitement choisi.Vous pouvez ensuite cliquer sur un complément pour obtenir une fiche d’information complète à son sujet.Sélectionnez un complément- Choisir -Sélectionnez un traitement- Choisir -En savoir plus ? Pas trouvé ce que vous cherchiez ?Vous cherchez des informations encore plus détaillées ? Vous n’avez pas trouvé un complément en particulier ?
Cette application a été réalisée par la Fondation contre le Cancer. Elle a été développée sous la supervision du docteur An Vandebroek, oncologue médicale à la ZNA Antwerpen, et du docteur Fanny Bauvet, oncologue médicale à l’Hôpital Sainte-Anne Saint-Remi de Bruxelles. Le contenu des différentes fiches a également été validé par le Fonds Anticancer.Le contenu de ces fiches est purement informatif, uniquement destiné à un usage personnel et ne remplace en aucun cas une consultation médicale. La fiche ne peut être diffusée, de quelque manière que ce soit, sans mentionner la Fondation contre le Cancer en tant que source.
COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES ET CANCER : AMIS ET ENNEMIS!
Selon les études sur le sujet, 54 à 81 % des personnes touchées par le cancer utilisent des compléments alimentaires (vitamines, herbes, plantes…).
Leurs attentes portent notamment sur un accroissement des chances de guérison, une réduction des effets secondaires causés par les traitements et une meilleure qualité de vie.
L’usage de compléments alimentaires est souvent concomitant au(x) traitement(s) contre le cancer. Mais peu de personnes sont conscientes du fait que ces compléments alimentaires n’ont pas que des bons côtés. Ils peuvent entraîner des effets secondaires dont le plus préoccupant est certainement la réduction de l’efficacité des traitements du cancer. Ils peuvent également aggraver les conséquences de la maladie et, dans certains cas, provoquer le décès.
Enfin, les compléments alimentaires peuvent influencer l’action d’autres traitements classiques, et causer des effets secondaires indésirables. Et le fait que ces compléments soient souvent à base de plantes (phytothérapie) ne diminue en aucun cas ce danger, comme nous l’expliquions dans cet article.
Nous encourageons fortement les patients à signaler à leur oncologue toute utilisation de compléments alimentaires ou de traitements non conventionnels. Et nous conseillons à chaque oncologue de se renseigner spontanément auprès de leurs patients sur ce même sujet. De cette manière, le patient peut choisir en connaissance de cause d’utiliser ou non ces compléments, avec un maximum de sécurité et un minimum d’effets indésirables.
L’association Fonds Anticancer a réalisé une brochure intitulée « Les compléments alimentaires au cours du traitement du cancer » téléchargeable sur son site. Cette brochure fournit des définitions, des informations et des conseils pour choisir des compléments sûrs et de qualité.
Nous vous proposons un tableau récapitulatif des compléments alimentaires illustrant leur double statut ami/ennemi. Il vous offre un aperçu des fiches que la Fondation contre le Cancer a développées afin de présenter les principaux effets positifs et négatifs des compléments alimentaires en cas de cancer. Ce tableau s’adresse autant aux patients qu’aux professionnels en oncologie.

alimentation et cancer GR
Vitamine PP – Qu’est-ce que c’est ? – Fiches santé et conseils
La vitamine PP est considérée comme une vitamine hydrosoluble appartenant à la famille de la vitamine B.
Source : Vitamine PP – Qu’est-ce que c’est ? – Fiches santé et conseils
Statines : des bénéfices largement supérieurs aux risques, selon une vaste étude du Lancet
Statines : des bénéfices largement supérieurs aux risques, selon une vaste étude du Lancet

Deschercheurs britanniques viennent de publier une vaste revue de la littérature concernant les bénéfices et les risques lié au traitement par statines. Ils espèrent, par cette étude, mettre un point final aux doutes concernant cette classe thérapeutique, en montrant que leurs bénéfices est supérieurs aux risques.
Depuis la sortie en 2013 du livre polémique du Pr Philippe Even concernant les médicaments hypocholestérolémiants et surtout les statines, nombreux ont été les experts à rappeler l’importance de ces traitements en particulier en prévention cardiovasculaire secondaire. La Haute Autorité de santé insistait ainsi, en février 2013, sur le fait qu’en prévention secondaire « l’intérêt des statines est indiscutable ». Elle se montrait plus nuancée pour la prévention primaire rappelant que « les statines sont à réserver aux personnes qui sont à haut risque » ; et constatait « un certain mésusage des statines en France ». En outre, plusieurs études ont mis en évidence que cette polémique a entrainé des ruptures de traitements avec des conséquences non négligeables sur les accidents et la mortalité cardiovasculaire.
« Prendre des décisions éclairées »
Dans ce contexte, des chercheurs britanniques se sont penchés sur l’ensemble des études évaluant les bénéfices et les risques des statines. Leur objectif est d’ « aider les praticiens, patients, et le public à prendre des décisions éclairées concernant le traitement par statines en prévention cardiocérébrale ». Ils ont donc analysé les forces et les limites des essais contrôlés et randomisés, mais aussi des études observationnelles. Ils ont ainsi conclu à…[pagebreak]
la solidité des larges études randomisées, qui montraient un bénéfice en terme morbidité et de mortalité cardiovasculaires, qui contraste avec la faiblesse des conclusions apportées par les études observationnelles. La réduction du risque d’événement vasculaire majeur serait globalement de 25% pour chaque baisse de 1 mmol/L de LDL cholesterol par an (après un an de traitement toutefois). Le bénéfice absolu dépend du risque individuel. Ainsi, les auteurs de l’étude ont calculé qu’une réduction de LDL cholesterol de 2 mmol /L avec une statine de type atorvastatine (40mg/j) pris pendant une durée de 5 années par 10 000 patients ayant une maladie cardiovasculaire occlusive (prévention secondaire), permettait d’éviter 1000 événements cardiovasculaires (10% de bénéfice absolu).
Ce bénéfice était de 5% (500 événements prévenus) en cas de prévention primaire chez des sujets à risque mais sans maladie cardiovasculaire avérée.
La pollution de l’air, ennemie du HDL-cholestérol
L’étude publiée par Griffith Bell et coll. (Seattle, Etats-Unis) dans la revue Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biology a porté sur une population de 6.654 adultes participant à la Multi-Ethnic Study of Atherosclerosis. Le niveau d’exposition sur 12 mois de chaque participant à la pollution atmosphérique a été calculé en fonction de leur lieu de résidence et des relevés de pollution mentionnant notamment les concentrations de particules fines et d’oxydes de carbone. Les données ainsi récupérées ont ensuite été confrontées à la mesure du HDL-cholestérol de chacun des participants. Les résultats révèlent que les patients ayant été confrontés à un haut niveau de pollution atmosphérique au cours des 12 derniers mois sont aussi ceux dont le taux de HDL-cholestérol est le plus bas (−1.68 mg/dL; IC 95% = −2.86 à −0.50), ce taux bas du bon cholestérol étant plus marqué chez les femmes que chez les hommes, à pollution atmosphérique comparable.
Selon les auteurs, cet impact de la pollution atmosphérique sur le HDL-cholestérol pourrait expliquer en partie la raison pour laquelle cette pollution, notamment celle émanant des moteurs à explosion, est associée à une élévation du risque cardiovasculaire.
Griffith Bell et coll. Association of Air Pollution Exposures With High-Density Lipoprotein Cholesterol and Particle Number. The Multi-Ethnic Study of Atherosclerosis. Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biology. Article publié en ligne le 13 avril 2017
Source : La pollution de l’air, ennemie du HDL-cholestérol | egora.fr
Pocket: Hoquet
Le hoquet est un spasme involontaire du diaphragme qui se répète et qui est suivi de la fermeture rapide des cordes vocales. Le spasme se produit entre deux inspirations normales et fait un bruit particulier. Le diaphragme est le muscle mince qui se trouve sous les poumons et le cœur et qui sépare la cavité thoracique de l’abdomen. C’est le muscle principal de la respiration. Causes On ne connaît pas la cause exacte du hoquet. Les personnes atteintes de cancer peuvent avoir le hoquet sans raison évidente,
Source : Pocket: Hoquet
C’est un reflexe respiratoire, caractérisé par une contraction spasmodique d’un côté ou des deux côtés du diaphragme. Parfois, les muscles accessoires de la respiration (scalènes, intercostaux, abdominaux) peuvent être aussi intéressés.
Ce phénomène tellement bénin qu’on n’y porte guère d’autre attention que de se moquer de la personne qui en est épisodiquement atteinte, devient, en soins palliatifs, une cause majeure d’inconfort pour le patient quand il dure ou se répète très régulièrement pendant des jours entiers, interrompant le sommeil, aboutissant à un épuisement, une anxiété, voire une perte de poids.
Principales causes
Le réflexe du hoquet implique
des fibres afférentes : le nerf phrénique, le nerf pneumogastrique, et des fibres sympathiques thoraciques diverses,
un zone centrale réflexe, non spécifiée,
des fibres efférentes : principalement le nerf phrénique
L’irritation du nerf pneumogastrique peut avoir lieu
au niveau abdominal (tumeur gastrique, hépatomégalie, pancréatite, péritonite),
au niveau thoracique (oesophage, pneumonie, coronarite),
au niveau laryngé ou pharyngé,
au niveau de l’oreille ou des méninges.
L’irritation du nerf phrénique peut se faire
soit à l’état sus diaphragmatique (tumeur médiastinale, pharyngée),
soit à l’étage central (différentes lésions neurologiques, intoxication alcoolique, insuffisance rénale).
Traitement
Il n’y a pas de médicament bien spécifique.
La stimulation du pharynx constitue un moyen mécanique simple de soulager le hoquet. On stimule le fond du pharynx avec une petite sonde nasale et on obtient généralement en moins d’une minute une cessation du hoquet.
Les ‘moyens de grand mère’ que nous avons tous appris sont généralement basés sur cette stimulation indirecte du fond du pharynx (boire longtemps et doucement, faire peur en criant par exemple).
Des médicaments peuvent être prescrits : métoclopramide (Primpéran™), siméticone (Météoxane™) peuvent être utiles. Certains prescrivent de petites doses d’halopéridol (Haldol™) ou de chlorpromazine (Largactil™).
En fait, le plus souvent apparemment bénin, ce symptôme peut entraîner une invalidité majeure.